ARTICLE 9: Quand un geste technique est jugé ippon.



    I.  Validation d’un Ippon.



        Après que les athlètes aient échangé un « Sonkio » (position accroupie au début du match) suivi d’un salut « Rei »,

        l’arbitre prononce « Ippon Me » pour signaler le début du combat, puis après chaque point réussi, l’arbitre prononce

        la 2ème reprise « Nihon Me » suivie de la 3ème reprise « Sanbon Me » jusqu'à la fin du Match.



         -(a) Quand le coup est porté sur le cuirasse avec une bonne technique, une bonne concentration et par dessus tout

                est exprimé avec puissance et rapidité. Et surtout sans oublier de pousser un « Kiai ».



         -(b) Quand est utilisée le technique du « Kaeshi-Geri », portée avec un maximum de contrôle au niveau de la coquille.
                Aucun coup porté aux parties génitales n'est validé, ils seront sanctionnés s'il n'y a pas de contrôle.



         -(c) Quand à terre après projection, on frappe l'adversaire, il est obligatoire de contrôler les attaques au visage.



         -(d) Quant debout, des techniques de pied et genoux sont portées au visage, il faut également contrôler la frappe.



         -(e) Quand des technique de projection sont exécutées avec technique, dans lesquelles l'adversaire (Uke) est soulevé

                horizontalement eu dessus des épaules, de (Tori) ou verticalement avec la ceinture du (Uke) passant au dessus

                des épaules du (Tori) «Thaisechi », cela sans même le lancer à terre.



         -(f) Quand des technique de luxation sont effectuées avec contrôle, même si celui qui subit l'action n'abandonne pas.



        -(g) Quand sont portés avec régularité des coups précis et rapides (pas nécessairement puissant) à partir d'une position

               stable, de façon à déséquilibrer l'adversaire.



        -(h) Quand l'athlète debout frappe l'adversaire à terre avec une technique rapide et puissante.



        -(i) Quand à terre sont exécutées des techniques de genoux
              Il est obligatoire de contrôler les coups sur le masque.
              Seules les ceintures noires ont le droit de frapper dans le dos avec un contrôle total.



        -(j) Quand sont exécutées des techniques de coude sur la cuirasse, à la tête avec un parfait contrôle du (Uke) aussi bien

              debout qu'au sol.



        -(k) Quand un athlète obtient un second « KEIKOKU », un « Ippon) est donné à l’adversaire.

ARTICLE 10 : Commission pour les compétitions « Kata » et « Shiai »



   I.  COMPETITION KATA :



       1) Composition de la Commission :



         -(a) 1 arbitre général
         -(b) 1 vice-arbitre général
         -(c) Au moins 3 arbitres en plus
         -(d) 1 président du Jury
         -(e) 1 vice-président du jury
         -(f) 1 secrétaire
         -(g) 1 membre de la direction technique

   II. COMPETITION SHIAI :



       1) Composition de la Commission :



         -(a) 1 arbitre général
         -(b) Un vice-arbitre général
         -(c) 1 ou 2 arbitres au centre
         -(d) 1 ou 2 arbitres  extérieurs
         -(e) 1 Secrétaire
         -(f) 1 chronométreur
         -(g) 1 président du Jury
         -(h) 1 vice-président du jury
         -(i) 1 médecin officiel ou la Croix Rouge
         -(j) 1 membre de la direction technique



   III. ATTRIBUTION DES MEMBRES DE LA COMMISSION



         a) L’arbitre général
             Il doit suivre et contrôler toutes les phases des combats En cas de désaccord, confusion, protestations etc. après avoir

             consulté le président du jury, il peut suspendre la compétition. Il endosse la responsabilité des actes des arbitres pendant

             la compétition.



        b) Le vice-arbitre général
            Il assiste l’arbitre général



        c) Le président du jury
            Il veille au bon fonctionnement de l’ensemble de la compétition,
            Il coordonne tous les membres de la commission et en assure la  responsabilité
            Il contrôle la régularité du lieu de compétition, le poids des athlètes et les cuirasses ;
            Il vérifie la justesse des tableaux de compétition, les tirages au sort et authentifie les résultats.
            En cas de désaccord, il peut suspendre les athlètes et les responsables de club (voir la compétition) après avoir consulté

            l’arbitre général lors d’une situation grave.
            Il reçoit les objections.



       d) Le vice-président du jury
            Il aide le président jury dans la direction de la compétition et le remplace en cas d’absence.



       e) L’arbitre central (compétition Shiai)
           Il dirige le combat.
           Il est à l’intérieur du « Kempo Hoen », face au jury.
           Il a la responsabilité du déroulement du combat.



       f) Les arbitres externes (compétition Shiai)
          Ils sont sur le côté de la « zone externe », dos au jury.
          Ils assistent l’arbitre central dans la direction des combats.



      g) Les arbitres (compétitions Kata)
          Ils sont assis devant le jury, à la limite de l’aire de combat.
          A la fin de l’exécution du kata, ils expriment leur jugement.



      h) Le secrétaire
          Il appelle les athlètes.
          Il inscrits sur les tableaux, les noms des vainqueurs de chaque phase de la compétition et il aide le chronométreur dans

          le contrôle du temps.
 
      i) Les chronométreurs
         Il chronomètre le temps.
         Au signal de l’arbitre central, il arrête le chronomètre.
         Ils notent les points et les pénalités, les interruptions lors de chaque combat ainsi que leur durée et ils donnent le signal

         de la fin de la durée des combats.



     j) Le médecin officiel ou la Croix Rouge
        Il suit toute la compétition.
        A la demande de l’arbitre central, il entre sur l’aire de combat et contrôle l’état de santé de l’athlète blessé.
        Il lui porte les premiers soins et si nécessaire, demande à l'arbitre centrale de stopper la compétition.



​    k) Le membre de la direction technique

        Il représente l’association